Ce travail invite à observer ces éléments visuels connotés tout en se questionnant sur une forme de ré-appropriation de la nostalgie d’autrui. Ici maman est anonyme et symbolique. Perdue quelque-part au milieu des étoiles, orchidées, papillons et petits coeurs. La photographie est imprimée sur un papier photo glossy classique. Ce type de papier nous ramène à un lieu commun de la photographie, identique au papier sur lequel sont tirées des photos d’appareils jetables et accentuant de par sa forme la mémoire collective rattachée à la photographie en tant qu’objet. Un groupement de photographies sera installé face à “Maman”. Cet ensemble photographique bien qu’assez hétérogène convoque l’altération des images. Dans leur assemblage un nouveau dialogue, une nouvelle lecture sont produits, que ce soit entre les images du groupe, ou avec les pièces se trouvant autour.